Friday, August 5, 2011

Critique des favoris - Captain Corelli's Mandolin de Louis de Bernières


Re-bienvenue à une autre billet de Critiques des favoris!! 

Une série de billets qui sera publié chaque vendredi!! eh oui! je vous présente encore cette fois un livre que j'ai connu à travers mes cours. Captain Corelli's Madolin est un livre du style réalisme magique. C'est le deuxième livre de ce genre que je lis ( le premier étant un livre de Garcia Marquez) et j'ai absolument adoré. J'ai lu la version original en anglais avec l'aide de la version audio qui m'a permis de finir le livre à temps pour mon test. Je dois dire que l'accent de lecteur était magnifique. Bon, sans retarder, voici le critique. 


Titre: Captain Corelli's Mandolin (La mandoline du capitaine Corelli)
Auteur: Louis de Bernières
Édition: Vintage Books London
No. de pages: 534
Type: Roman
Langue: Anglais


Résumé:
Il est 1941 et le capitaine Antonio Corelli, un jeune officier italien, est envoyé à l'île grecque de Céphalonie dans le cadre des forces d'occupation. Au début, il est ostracisé par la population locale, mais comme un consciencieux, mais loin d'être un soldat fanatique, dont le but principal est d'avoir une guerre pacifique, il prouve à temps d'être civilisé, humoristique - musicien passionné. 
Lorsque des lettres la fille du docteur local pour son fiancé - et les membres d'une organisme cachée - sans réponse, le triangle éternel semble inévitable. Mais, l'amour fragile peut-il survivre alors que la guerre sauvage et  bestiale se rapproche et les lignes sont tracées entre les envahisseurs et les protecteurs ?


Critique:
J'ai aimé beaucoup de choses dans ce roman. 500 pages d'intenses émotions. J'ai ri, j'ai pleuré, j'étais dégoûtée, incrédule, émerveillée, je suis tombé en amours et j'ai détesté. Tout cela dans ce petit livre magique. C'est de l'écriture magique. Louis de Bernières a du talent. À travers le livre, la perspective du narrateur change à chaque chapitre ou deux. On passe de Dr Iannis, à sa fille, à son fiancé et à Capitaine Corelli. On a même le point de vue de Mussolini au deuxième chapitre. Normalement, ces changements  me désorientent et me font détester le livre, mais ici c'est parfait. La transition est douce et claire. En plus, il y a des chapitres spéciaux. Il y a des lettres, des dialogues, des monologues et des pensées.
Ce livre qui m’a attiré par le nouveau point de vu qu’il apporte à la deuxième guerre mondiale. Il montre comment les gens ont vécu en Grèce au lieu de parler de la Pologne, de l’Allemagne ou de la Grande-Bretagne. Ce point de vue apporte donc de la fraîcheur et de l’intérêt à ce qui s’est passé dans la DGM.
C’est aussi une exploration de la culture grecque et ses traditions. Par exemple, il y a tout un chapitre sur une cérémonie pour redonner raison aux malades mentaux de l’île.
Malgré la généralité du sujet, le roman se concentre sur l’histoire de Palagia et Corelli. L’une est grecque et l’autre italien. Une histoire d’amour entre occupant et occupée. C’est aussi une histoire sur le sacrifice et la découverte de soi.
Les personnages et leur caractère sont très bien faits. Palagia, la fille de docteur, a une forte personnalité et a beaucoup de connaissance. Bref, une fille bien éduquée ce qui fait d’elle une personne unique sur l’île. L’autre personnage que j’ai bien aimé est le capitaine Corelli. Il a un sens d’humour bien spécial qu'il transmet à travers la musique. La mandoline qu'il joue est l’instrument avec laquelle il  donne sa première impression aux grecques. La mandoline devient de plus en plus importante vers la fin, mais je ne dirais pas plus sinon je gâcherai l’histoire.
Une magnifique plume,  une histoire attirante et des personnages de tout les types. Un livre recommandé.

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